En exclusivité sur Diwane.net, l’étude du Pr Abdelkrim Belguendouz, en réponse au secrétaire général du CCME, sur les droits politiques des citoyens MRE
À partir de demain 26 février sur «Diwane.net»
Une étude du Pr Abdelkrim Belguendouz,
en réponse au secrétaire général du CCME,
sur les droits politiques des citoyens MRE
À partir de demain, «Diwane.net» publiera une longue étude du Pr Abdelkrim Belguendouz, universitaire à Rabat et chercheur en migration, sur le thème des droits politiques des citoyens marocains résidant à l’étranger, par rapport au Maroc.
Il s’agit d’une contribution au débat, en réponse à des déclarations récentes du secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), publiées sur le site «Al OÂMK Almaghribi» sous le titre: «Boussouf appelle le gouvernement et le parlement à assumer leurs responsabilités dans la participation politique des MRE».
L’étude du Pr Abdelkrim Belguendouz comporte cinq parties qui seront publiées successivement, une par jour:
1- Déclarations très discutables de Boussouf, secrétaire général du CCME.
2 – La direction du CCME est AUSSI responsable que les gouvernements successifs et les majorités parlementaires respectives, de la non effectivité des droits politiques des citoyens MRE par rapport au Maroc. Huit points seront soulevés dans cette discussion:
– Le trio dirigeant du CCME contre la pleine citoyenneté des MRE.
– Exemples d’arrogance et de mépris.
– Le livre du CCME d’octobre 2013: des arguments avariés et éculés.
– Quelques déclarations représentatives et significatives du trio dirigeant du Conseil.
– Une directive royale non suivie.
– Le mémorandum urgent des «Cinq» au président du CCME.
– Démission du CCME de Abdou Menebhi.
– la représentation parlementaire MRE: une revendication respectable.
– Pour une politique du vrai.
3 – Double langage du secrétaire général du CCME et non existence d’un avis consultatif du Conseil relatif à la représentation MRE à la Chambre des conseillers. Cette partie traitera de cinq points:
– Le SG du CCME, en flagrant délit de double discours.
– Une interprétation non mûrie du discours royal du 17 juin 2011.
– Aucun avis consultatif du Conseil sur la deuxième chambre.
– Pour une représentation MRE dans les deux chambres du parlement.
– Ambiguïté et instrumentalisation de l’article 17 de la Constitution.
4 – Le secrétaire général du CCME a combattu l’action responsable des partis politiques et des parlementaires en matière de droits politiques des citoyens MRE. Les points suivants seront discutés:
– «Le chameau ne regarde pas sa bosse, il ne regarde que la bosse des autres»,
– le déni de la démarche sécuritaire.
– Offensive permanente contre les partis politiques et les parlementaires.
– Un rappel nécessaire pour mémoire.
– Sur la lignée de.. 2007: une fatwa irrecevable.
5 – Il y a loin du CCME (Conseil de la communauté marocaine à l’étranger à la CCME (communauté des citoyens marocains à l’étranger). Trois volets vont être appréhendés:
– Une interpellation fondée du chef de l’Exécutif, mais..
– Un modèle «étapiste» non crédible et intemporel.
– CCME et CSMD.
Bien entendu, les colonnes de «Diwane.net» sont ouvertes à toutes celles et ceux qui voudraient participer à un débat d’idées serein, responsable, constructif et respectueux des personnes , sur cette question primordiale de la nécessaire effectivité des droits politiques des citoyens MRE par rapport au Maroc, ou sur tout autre aspect (culturel, cultuel, éducatif, social etc), relatif à la communauté des citoyens marocains établis à l’extérieur du territoire national.